Si les transports en commun japonais sont réputés pour leur efficacité, louer une voiture offre une liberté incomparable pour découvrir des recoins moins accessibles. Dans cet article, je partage avec vous tout ce qu’il faut savoir pour conduire au Japon en toute simplicité. Vous allez voir, il n’y a rien d’insurmontable. Attachez vos ceintures, le programme de ce guide pratique est dense !
Sommaire
👉 Avant de lire cet article, je vous invite à consulter mon guide pratique sur la location de voiture au Japon. Vous y trouverez toutes les informations utiles pour choisir votre agence, souscrire la bonne assurance, calculer les coûts et bien d’autres conseils encore !
👉 N’oubliez pas que vous devez traduire votre permis de conduire en japonais au préalable.
1 – Code de la route au Japon : les règles spécifiques
🚘 La conduite à gauche
Au Japon, on conduit à gauche. Je m’en faisais toute une montagne mais je me suis finalement adapté quasi instantanément. En réalité, des petits détails facilitent grandement la prise en main :
- les voitures japonaises ont une boîte de vitesses automatique, cela simplifie énormément l’adaptation de la conduite à gauche. On n’a que la route à gérer, l’accélérateur et le frein.
- il n’y a pas de ronds-points au Japon.
- les croisements avec priorité à droite/gauche n’existent quasiment pas pour ainsi dire : ils sont tous gérés par des stops ou des feux tricolores. Un vrai avantage !
Il faut néanmoins reprendre quelques nouvelles habitudes mais elles deviennent automatiques au bout de quelques jours de conduite :
- les essuie-glaces et les clignotants sont inversés au volant : lorsqu’on veut indiquer qu’on tourne, on choisit la manette côté français… et on balaye le pare-brise !
- en montant en voiture, on prend la portière du passager avant au lieu de celle du conducteur.
En dehors de ces quelques bricoles, il n’y a vraiment rien de sorcier !
👮 Les limites de vitesse
Les limitations de vitesse sont un concept… ésotérique ! Après plus de 3 semaines passées sur les routes de Kyushu, autour de Nagoya et de Matsue, le constat est le même : les Japonais ne respectent pas du tout les limitations imposées ! Ils sont systématiquement à + 10 ou + 20 km/h par rapport aux panneaux ce qui est assez perturbant au départ car on a l’impression d’avoir loupé une info.
Quoiqu’il en soit on conduit doucement au Japon car les normes sont très basses à la base :
- en ville : la vitesse varie de 30 à 50 km/h.
- hors agglomération : sans indication, la vitesse est de 60 km/h seulement. Bien souvent des panneaux la rabaissent à 50 km/h.
- sur voies rapides 2 x 1 voie avec terre-plein central : on peut rouler à 80 km/h.
- sur autoroute : seulement 100 km/h, voire moins dans les tunnels (et je peux vous dire qu’il y a énormément de tunnels !).
Alors oui, on pourrait penser que conduire au Japon, c’est se traîner comme une tortue (ce qui n’est pas tout à fait faux !). Mais on peut en réalité difficilement aller plus vite car les routes sont parsemées de feux tricolores, de stops, de virages assez secs, même en campagne. On ne se rend donc pas vraiment compte qu’on n’avance pas vite 😆.
🚶 La priorité aux piétons
Conduire au Japon, c’est d’abord savoir que le piéton a une priorité absolue sur la voiture. Si vous percutez quelqu’un, vous serez d’abord considéré comme fautif et responsable car vous n’aurez pas maîtrisé le véhicule. Et peu importe de savoir si le piéton faisait n’importe quoi ! Il faut donc être vigilant aux intersections car même avec votre feu au vert, des piétons peuvent traverser. Vous devez alors bien vous assurer qu’il n’y a plus personne sur la voie avant de couper un passage piétons.
Une autre angoisse en ville, ce sont les vélos qui roulent comme des balles sur les trottoirs et qui prennent les passages piétons. Gardez bien un oeil sur les cyclistes car les trottoirs sont très larges et je me suis déjà fait des frayeurs.
⛔ Les panneaux particuliers
Je vous rassure tout de suite : tous les panneaux indiquant les directions sont écrits en alphabet occidental en plus des kanjis. Il est donc très facile de se repérer. Les panneaux sont globalement les mêmes qu’en France également. S’ils possèdent quelques variations, le design est tellement intuitif que vous comprendrez tout de suite ce qu’ils indiquent. Il faut surtout retenir qu’au Japon, les autoroutes sont indiquées sur un fond vert, et les voies rapides/nationales sur un fond bleu.
La seule différence majeure concerne les stops qui ont la même forme que nos cédez-le-passage, avec le mot « 止まれ » (tomare) qui signifie « stop ». Attention à bien vous arrêter à la ligne blanche, c’est une obligation absolue.
🚦 Les feux tricolores
Point important : les feux de signalisation sont installés face à vous après le croisement. Il faut donc faire attention à bien s’arrêter avant le carrefour, à la ligne blanche. Car si on s’arrête à leur hauteur, on sera tout simplement en plein milieu du croisement ! Dans les grosses agglomérations, les feux sont mêmes doublés : un avant le carrefour comme en France, et un autre après le croisement en copie conforme. L’avantage de placer le feu face à nous, c’est qu’il n’y a pas besoin de se tordre le cou pour voir quand il passe au vert. C’est quand même bien pratique.
Autre particularité sur la photo ci-dessous : il y a de nombreuses flèches directionnelles sous les feux. Quand la flèche est verte, la voie dans son sens peut circuler même si le feu général reste rouge. C’est parfois perturbant car on peut avoir des ribambelles de flèches vertes allumées dans plusieurs directions, et toujours le feu rouge, si bien qu’on se demande s’il faut avancer ou non. Là encore, suivez les autres conducteurs en roulant doucement si vous hésitez. Ils sauront klaxonner au besoin si vous n’avancez pas.
✨ Les clignotants
Je vous invite à garder une bonne distance de sécurité car très souvent, les Japonais freinent à mort puis mettent le clignotant quand ils sont déjà en train de tourner. Sauf que c’est au dernier moment, et que c’est hyper dangereux ! Le clignotant ne sert plus à rien ! J’ai failli m’emplafonner 2 véhicules par deux fois sur des routes nationales alors faites attention.
🍺 L’alcool au volant
Le Japon applique une politique de tolérance zéro en matière d’alcool au volant. Le taux d’alcoolémie autorisé est de 0%. Les sanctions sont extrêmement sévères car elles fixent une amende qui peut frôler le million de yens, associée à une peine d’emprisonnement de plusieurs années. De plus, l’amende peut s’appliquer aux passagers qui auraient laissé une personne alcoolisée prendre le volant. On ne rigole donc pas : la moindre goutte est interdite, même pour un trajet court.
2 – S’orienter avec le GPS
🔍 Savoir utiliser le GPS japonais de la voiture
Les voitures de location au Japon sont généralement équipées de systèmes GPS intégrés. Ne soyez pas intimidés, l’agence vous le configurera en anglais. A mon sens, les GPS japonais ont 3 énormes points forts :
Saisie des adresses
C’était ma grosse angoisse au départ : comment rentrer une adresse ou le nom de mon hôtel quand tout est écrit en kanji ou kana ? Heureusement il y a une solution pour ça : on peut trouver un lieu avec son numéro de téléphone tout simplement. Il suffit d’entrer le numéro de téléphone d’un musée, d’un sanctuaire, de votre logement ou d’une boutique (trouvée sur Google ou sur vos réservations), et le GPS va localiser le lieu ! Pour les points naturels (comme les cascades), j’essayais de trouver un commerce à proximité au plus proche pour entrer ce numéro de téléphone dans le GPS, en substitution.
Estimation des péages et infos sur les aires de repos
C’est un énorme plus par rapport à la France. Quand on fait une recherche d’itinéraire, le GPS affiche les options de trajets et indique, pour chaque cas, le coût exact des péages. Pas de mauvaise surprise au moment de passer la barrière !
Une fois sur autoroute, vous aurez aussi des indications sur les services délivrés dans les prochaines aires de repos, pratique pour savoir quand faire une pause.
Lisibilité des instructions
Pour bien comprendre où il faut tourner, les GPS japonais zooment sur les croisements et affichent des repères spécifiques très utiles comme des magasins connus : Family Mart, 7 eleven, station service ENEOS… Ces grandes marques bien implantées se repèrent facilement en ville et on comprend parfois bien mieux où il faut aller. L’affichage « tourner après le Family Mart » étant plus clair et instinctif parfois qu’une simple carte avec des flèches.
Sur les faiblesses :
- l’interface est austère, relativement moche et datée.
- les temps de parcours annoncés étaient hyper longs. A chaque fois, je suis arrivé à destination bien avant, gagnant facilement 20 à 30 min sur des trajets annoncés de seulement 2h ! De ce point de vue, Google maps est bien plus proche de la réalité.
📱 Passer par une application sur téléphone
Je vous recommande par principe d’utiliser le GPS de la voiture qui est bien fichu. Mais il est préférable d’avoir avec soi une bonne vieille appli sur téléphone pour contrôler si le GPS est sur les bons rails, ou tout simplement disposer d’un plan B si vous ne vous sentez pas/n’arrivez pas à l’utiliser.
Je vous recommande 2 applications indispensables :
- Google maps : l’indétrônable. Inutile d’en dire plus, l’appli est parfaite MAIS il lui faut une connexion internet pour calculer efficacement les trajets. En effet, même en téléchargeant les plans en mode hors connexion en avance, l’appli n’arrivait pas à me charger un itinéraire… ou me sortait un trajet complètement délirant.
- MAPS.ME : une appli qui permet de télécharger gratuitement en hors connexion jusqu’à 10 cartes de préfectures (c’est payant ensuite). La limite est largement suffisante et avec cette application, aucune mauvaise surprise. J’ai toujours réussi à charger et suivre des itinéraires en mode avion, sans aucune connexion web.
🚀 S’équiper pour le guidage GPS par téléphone
Vous préférez prendre le téléphone plutôt que le GPS intégré ? Alors pensez à vous équiper un minimum pour avoir un poste de conduite adapté, être à l’aise et bien installé pour conduire en sécurité.
📲 Acheter un support de téléphone à fixer sur les grilles d’aération : ça ne coûte pas grand chose et ne prend pas de place dans la valise. Indispensable quand on est seul. Indispensable aussi quand on est deux, pour éviter les engueulades de guidage !
🔌 Acheter un câble usb de recharge suffisamment long ainsi qu’une prise allume-cigare usb : permet en théorie de charger votre téléphone en continu mais cela n’a pas fonctionné sur les voitures que j’ai louées. Mon téléphone ne faisait que de se charger quelques secondes, sortait de charge, se remettait en charge quelques secondes après. J’imagine que c’est lié à la différence de voltage avec la France.
⚡🔋 S’équiper d’une batterie externe de secours : bien plus fiable que l’option allume-cigare. Ce powerbank pourra vous être utile à d’autres moments de la journée. Votre batterie risque en effet de se vider rapidement en balade, surtout si vous prenez des photos et vidéos.
3 – Les parkings
🅿 Bien se garer
En ville, impossible ou presque de ne pas payer son stationnement ! Les places disposent en effet d’un système de blocage des véhicules rendant le déplacement impossible. Quand on se gare sur une place libre, des détecteurs au sol vont capter la voiture au-dessus. Une barre articulée va alors automatiquement s’élever du sol au bout de quelques secondes, pour se plaquer sur le bas de caisse de la voiture. Pour dégager la voiture… il faudra payer bien sûr !
Se garer :
- Garez-vous simplement en marche arrière, en reculant jusqu’à la butée.
- Le système enregistre tout seul l’heure à laquelle la plaque s’est levée : vous n’avez pas de ticket à récupérer. C’est le point de départ du décompte pour le paiement.
Récupérer la voiture :
- Identifiez le numéro de votre place indiqué au sol, également sur le système de blocage.
- Entrez ce numéro dans l’automate qui va vous indiquer le prix à payer. Attention à ne pas vous trompez, sinon vous payerez pour le voisin (ça fera un heureux, mais ce ne sera pas vous !).
- Insérer la monnaie. Attention, les cartes bancaires ne sont que très peu autorisées !
- Attendez quelques secondes pour que la plaque s’abaisse. Vous avez une bonne dizaine de minutes pour partir. Si vous trainez, la plaque se relèvera car elle considèrera que c’est un nouveau stationnement. Il faudra repayer pour sortir !
💸 Comprendre les panneaux des tarifs
Les parkings coûtent cher au Japon et il est difficile de les éviter. Quitte à payer, autant trouver des emplacements abordables. On va donc décrypter ensemble un panneau tarifaire pour que vous compreniez comment ça marche.
Sur cet exemple, vous avez deux tarifs différents :
- Sur la gauche : on a les prix du parking couvert au rez-de-chaussée, niveau 1F (au Japon, on considère que le niveau du sol correspond au 1er étage).
- Sur la droite : les prix moins chers du parking découvert au-dessus, niveau 2F.
Si on zoome sur les tarifs du niveau 2F plus intéressants :
- en rouge : on vous donne le prix pour 60 minutes, soit 100 yens.
- en-dessous : une première tranche précise que sur le créneau 7h-19h, vous ne pourrez jamais payer plus de 700 yens.
- si on poursuit : sur le créneau 19h-7h, vous ne pourrez jamais payer plus de 500 yens.
En résumé, vous commencez à payer 100 yens de l’heure jusqu’à l’atteinte du plafond de votre créneau horaire qui est un maximum. Vous avez donc intérêt à trouver des parkings avec des plafonds assez bas pour limiter la note si vous devez rester longtemps.
– de 17h à 19h : 2 x 1h = 2 x 100 yens = 200 yens
– de 19h à 7h : cela fait 12h donc 12 x 100 yens en théorie. Mais le panneau indique un plafond maximum sur cette tranche horaire : c’est donc ce prix maxi que vous allez payer = 500 yens
– de 7h à 10h le lendemain : 3 x 1h = 3 x 100 yens = 300 yens. De la même façon, si vous restez plus longtemps, vous serez facturés maximum jusqu’à 700 yens d’ici 19h.
On paye donc 1000 yens au total.
4 – Les autoroutes japonaises
💳 Le péage
Le Japon utilise un système de télépéage qui permet de passer des portes automatiques sans s’arrêter pour payer : il s’agit du système ETC. En option au moment de la location de votre voiture, je vous invite à prendre la carte ETC car elle ne coûte qu’environ 300 yens pour toute la durée de location. Il s’agit d’une carte à puce insérée dans un lecteur sur le tableau de bord. Les portes automatiques du péage vous détecteront à votre passage. Vos trajets seront alors enregistrés sur la carte. Lorsque vous rendrez la voiture, le loueur récupèrera la carte et vous imprimera la liste des trajets effectués sur autoroute. Vous devrez alors payer le montant des péages au bureau de l’agence au moment de la remise des clés.
Il n’y a donc rien à débourser au passage des portiques : on entre et on sort sans s’arrêter. Le système ETC représente une simplification et un gros gain de temps ! Quand vous prendrez l’autoroute, il faut prendre les voies indiquées en bleu par les sigles ETC. Les voies vertes correspondent aux voies classiques avec ticket et paiement à la barrière de sortie.
🍜 Les aires de repos
Il y a beaucoup de buzz ces derniers temps concernant le côté « fabuleux » des aires de repos japonaises. Alors oui, c’est largement mieux qu’en France. Mais si vous êtes déjà passés par de grandes gares au Japon, il faut vous imaginer qu’une aire d’autoroute offre globalement les mêmes services : vous ne découvrirez donc rien de nouveau. Il y a une grosse sélection de restaurants bons et pas chers, des toilettes fonctionnelles et propres, plusieurs boutiques souvenirs immenses. Bref, comme partout au Japon ! Clairement c’est agréable d’y faire une pause et de bien manger pour pas cher (ça change des 15 balles pour un menu sandwich Daunat chez nous). Pour la majorité des automobilistes, l’expérience s’arrêtera là.
Si en revanche vous voyagez en van au Japon, les aires d’autoroute seront une bonne option car vous pouvez y prendre des douches, et consulter des panneaux touristiques sur toutes les curiosités à voir dans le secteur : de bonnes idées à glaner quand on voyage sans un programme bien établi. Les aires sont donc très intéressantes si vous faites partie de cette cible.
5 – Essence : comment faire le plein ?
⛽ Choisir une station service
Les stations-service sont omniprésentes, même dans les zones rurales. Beaucoup disposent de pompistes qui font le plein pour vous, peuvent vous nettoyer les vitres… Un bon service client à l’ancienne, qui a disparu depuis longtemps chez nous. Même sans bien parler japonais, on arrive à se faire comprendre : l’agent s’occupera de tout et fera votre plein. On paye en espèces par la fenêtre ou éventuellement par carte au guichet. C’est rapide et pour le même prix, on ne se salit pas les mains.
Je vous recommande les enseignes suivantes :
- ENEOS : un peu plus cher mais bon service, rapide avec automate en anglais.
- Idemitsu/Apollo : reconnaissables à un logo en forme de tête rouge (voir la photo). Souvent moins cher qu’ENEOS, davantage implantées dans les périphéries. Automates pas toujours traduits.
Certaines de ces stations ont des horaires d’ouverture et seront totalement fermées ensuite. Toutes n’ont pas de système 24h/24. Avec les pompistes, c’est un jeu d’enfant de faire le plein vu qu’ils gèrent tout. Mais face à un automate en dehors des heures d’ouverture, c’est une autre affaire. Je vous explique donc comment procéder.
📠 Faire le plein sur automate
- Sélectionner le type de carburant : Le loueur vous précisera le carburant utilisé. Il s’agit généralement d’essence ordinaire (appelée « Regular » ou « レギュラー »), correspondant au pistolet de couleur rouge.
- Prépayer : comme souvent sur automates au Japon, il faut d’abord insérer des espèces ou sa carte de crédit pour que l’automate délivre son produit. Si vous payez en espèces, il faut insérer un billet avant de pouvoir se servir. Vous sélectionnez ensuite le montant que vous souhaitez mettre dans votre réservoir (exemple : « juste 2 000 yens »), ou choisir le plein complet.
- Se servir en carburant.
- Récupérer sa monnaie : si vous avez inséré davantage de monnaie que nécessaire, il faut récupérer sa monnaie mais ça se passe souvent sur une autre borne ! La première fois, je pensais qu’il n’y avait pas de rendu et que j’avais perdu mes yens ! Cette borne spéciale se situe en bout de station (voir photo). Il faut scanner son ticket de caisse et le change sortira. Très perturbant quand on n’est pas au courant !
6 – Conclusion
Merci tout d’abord pour votre lecture sur cet article dense mais que j’espère aussi complet que possible. Je le mettrai à jour régulièrement au fur et à mesure de mes voyages pour qu’il reste d’actualité. Conduire au Japon n’est donc pas bien compliqué, je vous assure que vous aurez pris vos repères et des automatismes au bout de quelques jours seulement. Si le prix de la location reste une charge importante pour une personne, l’idée est à étudier à partir de 2 voyageurs selon votre parcours. Vous aurez, en prime, la liberté de découvrir facilement un Japon rural et plus quotidien. Je n’abandonnerai pas le train à 100% pour autant, mais j’aborde désormais mes déplacements avec un mixte train/voiture.
N’hésitez pas à poser des questions en commentaires si j’ai oublié de parler de certains points, j’y répondrai en complément avec plaisir !
Merci beaucoup pour tous ces éléments et explications qui vont nous rassurer pour notre prochain voyage au Japon en novembre. Nous avons l’intention de louer une voiture une journée et votre article va nous être très utile.
Merci beaucoup, très heureux de savoir que cet article vous sera utile ! Profitez bien des érables !
Super article, complet et détaillé, et très facile à lire !
Plein d’infos précieuses pour tous ceux qui veulent tenter la location pour la première fois. Bravo Olivier !
Merci pour ton retour !
Conseils très complets. Effectivement, l’utilisation du GPS avait été épique pour nous!!! La prochaine fois, introduire les N° de téléphone nous facilitera nos utilisations. Ayant un pocket WiFi, nous avons, le plus souvent, utilisé Google maps ou maps.me., comme indiqué dans vos conseils
Oui vraiment le numéro de téléphone pour la localisation, ça change la vie ^^ !